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Hommage militant conjoint CGT et PCF à Georges Séguy

le 23 septembre 2016

Hommage militant conjoint CGT et PCF à Georges Séguy

"Le cinéma militant du Front populaire" Ciné-conférence présentée par Serge Wolikow

le 01 juillet 2016

A l'aube du Front populaire, le mouvement ouvrier s'empare d'un média plébiscité par le public : le cinéma. L’afflux d’adhésions du printemps 1936 apporte au Parti communiste et à la CGT des fonds nouveaux, ainsi qu’un vivier de membres professionnels du cinéma. C’est dans ce contexte qu’est créée Ciné-Liberté, coopérative audiovisuelle qui participera à la production et à la diffusion de nombreux films, et notamment "La Vie est à nous", dont la réalisation collective fut supervisée par Jean Renoir.

Cette séance, constituée d'extraits de la collection Ciné-Archives, sera commentée par Serge Wolikow, historien, spécialiste du mouvement ouvrier et de l'histoire des organisations politiques, et conseiller historique de la Fondation Gabriel Péri.

La séance sera introduite par Pierre Laurent, secrétaire national du PCF
Séance organisée par Ciné-Archives et le Parti communiste français.
En partenariat avec la Fondation Gabriel Péri.

 

Lundi 4 juillet à 18h30 - Coupole de l'Espace Niemeyer - Siège du PCF
2 place du Colonel Fabien - 75019 Paris

Entrée libre dans la limite des places disponibles

 

Expo - A l'appel de la liberté

le 24 mai 2016

Expo - A l'appel de la liberté

Dans le cadre de l’édition 2016 de la Journée nationale de la Résistance

Pierre LAURENT, secrétaire national du Parti communiste français,
Le Comité parisien de la Libération,
et les associations organisatrices,

Vous invitent à l’inauguration de l’exposition

Jeudi 26 mai 2016 à 18h
Espace Niemeyer, 2 place du Colonel Fabien, 75019, Paris

« Cet événement majeur réclame un moment fort au cours duquel chacun puisse,
non seulement l’honorer et le célébrer, mais avant tout comprendre ! Incessante pédagogie de l’espoir, la résistance reste à l’oeuvre dans la mémoire collective des Français ».

Jean MARCENAC

La Vie est à nous - Coffret sur le cinéma du Front du populaire

le 15 avril 2016

La Vie est à nous - Coffret sur le cinéma du Front du populaire

A l’occasion des 80 ans du Front Populaire, Ciné-Archives propose un triple DVD accompagné d’un livre de 104 pages, qui constitue une anthologie du cinéma militant du Front Populaire ( vous pouvez télécharger la présentation ci-contre ) avec La Vie est à nous et Le Temps des cerises ( en versions numériques restaurées ) et d'autres films du Front populaire.

Dès sa création en 1920, le Parti Communiste Français a produit, distribué et recueilli un grand nombre de films.

Cette démarche répondait à différents besoins : appui aux mouvements sociaux, propagande et communication des théories et des orientations du parti en direction des militants et des sympathisants, travail culturel. Pendant le Front populaire, le Parti Communiste Français s’empare du média le plus populaire de l’époque : le cinéma. L’aflux d’adhésions du printemps 1936 lui apporte des fonds nouveaux, ainsi qu’un vivier de membres professionnels du cinéma.

C’est dans ce contexte qu’est créée Ciné-Liberté, coopérative de production et de diffusion de films hors du circuit commercial. Participent à la fabrication des films des cinéastes venus de toute la gauche, et un grand nombre de techniciens membres du PCF et de la CGT.

Actualités, documentaires ou fictions : tous les genres sont représentés en images. Les courses cyclistes côtoient les images d’occupations d’usine, de manifestations et congrès tandis que les grands films de fiction exaltent l’histoire et les valeurs d’entraide et de solidarité de la classe ouvrière.

Parmi les films les plus remarquables, citons La Vie est à nous (réalisation collective dirigée par Jean Renoir) produit par le PCF pour les législatives de 1936, Grèves d’occupations tourné pendant les grèves de mai-juin 1936, Le Temps des cerises (réalisé par Jean-Paul Dreyfus en 1937 à la demande du PCF) évoquant les retraites des vieux travailleurs, les trois documentaires syndicaux réalisés en 1938 (Les Métallos, Les Bâtisseurs et Sur les routes d’acier) pour la CGT. Mais aussi Le défilé des 500 000 manifestants du 14 juillet 1935, moment décisif dans la constitution d’un Front Populaire, ou encore Breiz Nevez, sur le Front Populaire en Bretagne.

Sortie en librairie le 7 juin 2016

Vous pouvez passer une pré-commande à 23 euros (frais de port inclus) au lieu de 29 euros jusqu'au 31 mai à Ciné-archives, 2 place du Colonel Fabien 75019 Paris.

Je passe une pré-commande

Le coffret vous sera envoyé à compter du 7 juin 2016

Ciné-Archives est une association en charge des archives audiovisuelles du Parti Communiste Français et du mouvement ouvrier, elle conserve une vingtaine de films sur le Front Populaire, réalisés entre 1935 et 1938.

Le coffret a été réalisé en partenariat avec : les Archives françaises du film du CNC, la Ville de Paris, l’IHS CGT et la Fondation Gabriel Péri.

Pour plus d'informations vous pouvez consulter le site de ciné-archives.

80e anniversaire des Brigades internationales en Espagne républicaine

le 24 mars 2016

80e anniversaire des Brigades internationales en Espagne républicaine

Samedi 2 avril 2016

Siège du Parti communiste français
2, place du Colonel Fabien 75019 Paris

16h00

Fleurissement de la plaque en hommage aux Brigades internationales

17h00

Projection de Madrid before Hanita d'Eran Torbiner

Débat : L'engagement internationaliste d'hier et d'aujourd'hui

 

54e anniversaire de Charonne - Discours d'Emilie Lecroq

le 09 février 2016

54e anniversaire de Charonne - Discours d'Emilie Lecroq

Chers amis, Chers camarades,

 

« Ils n'étaient pas nés pour cela et pourtant ils ébranlèrent le monde ».

 

Jean-Pierre ; Fanny ; Daniel ; Anne-Claude ; Édouard ; Suzanne ; Hippolyte ; Maurice ; Raymond.

 

Leur histoire, c'est celle de femmes et d'hommes qui ont répondu par un mouvement pacifique à la violence et à la haine propagées par l'OAS.

 

Nous nous réunissons aujourd'hui pour commémorer une manifestation non violente, ensanglantée par une répression d’État qui a fait 9 morts.

Nous nous réunissons pour commémorer leur combat et le faire désormais nôtre.

 

En 1962, ces hommes et ces femmes se battaient pour permettre l’autodétermination d'un peuple, le peuple algérien.

Une liberté que l’État colonial leur refusait avec le soutien d'une extrême droite violente.

 

Se souvenir de l'histoire, de cette période, est d'autant plus important, que cela permet de garder en mémoire, le vrai visage de cette extrême droite qui voudrait aujourd'hui nous le faire oublier.

La mort tragique des 9 de Charonne aura au moins permis une prise de conscience en France. Cette guerre, qui ne disait pas son nom, devait prendre fin.

Leur mort n'aura pas été inutile, si nous savons nous souvenir d'eux.

 

Bien sûr, l'histoire ne repasse jamais les mêmes plats, mais elle nous montre cependant que les démons d'hier peuvent ressurgir aujourd'hui.

 

En effet, cette commémoration se déroule dans un climat lourd et pesant.

Ces derniers mois, nos rues ont résonné de cris qu’on croyait, qu’on voulait éteints pour toujours.

L'année 2015 restera marquée dans nos cœurs comme celle d'un véritable désastre.

Par deux fois, l'horreur s'est produite sur notre territoire.

Par deux fois, des fanatiques, au nom d'une idéologie fascisante, ont frappé.

 

 

D'abord Charlie et l'Hyper Cacher en janvier 2015, puis le 13 novembre où ils ont frappé aveuglément.

Dans de telles circonstances, comment ne pas se rappeler de l'attentat commis par l'OAS sur le train Strasbourg-Paris qui causa la mort de 28 personnes et en blessa 170 autres ?

Comment oublier les nombreux attentats de février et mars 1962 qui ont ravagé Alger et les algérois ?

 

Aujourd'hui comme hier, combien de morts, de familles endeuillées par des actes d'une extrême violence, qui alimentent une guerre d'identités supposées.

 

Aujourd'hui comme hier, disons le haut et fort : Qu’elles soient de Paris, Bamako, Tunis ou Alger, les victimes de la barbarie ne se différencient pas.

Ni par la couleur de leur peau, ni par leur religion ou absence de religion, ni par leur nationalité.

Les drames qui se sont et continuent de se succéder démontrent combien les amalgames et les manipulations, sur fond de racisme, ne protègent personne du terrorisme mais fragilisent la capacité d'y faire face.

 

Aujourd'hui comme hier, pour se souvenir mais surtout pour construire, continuons de dénoncer le colonialisme, les discriminations de toutes sortes, continuons d’œuvrer avec force pour la paix, l'égalité et la liberté.

Rendre hommage à nos camarades, c'est exiger l'abandon de « la guerre contre le terrorisme », au profit de coopérations nouvelles entre les peuples pour un règlement politique des conflits, c'est lutter contre toutes les discriminations, les divisions qui minent notre société.

 

Car aujourd'hui comme hier, sous prétexte de lutte contre le terrorisme, le pouvoir en place tente de nouveau d'imposer les mêmes réponses : diviser et apeurer pour mieux régner.

 

Hier, c'était le couvre feu pour les français musulmans d'Algérie.

Aujourd'hui, le gouvernement décide de s’attaquer au droit du sol et à la nationalité remettant en cause les fondements mêmes de notre République.

 

54 ans après, ces choix politiques participent à accentuer les divisions, les inégalités, à faire grandir le sentiment d'humiliation et renforcent les idées d'extrême-droite.

 

Rendre hommage à nos camarades, c'est faire vivre, aujourd'hui, l'histoire et les valeurs de ces militantes et militants syndicaux de la CGT, communistes, qui ont multiplié les luttes sociales pour que la liberté, l'égalité et la fraternité, trouvent les voies de leur réalisation concrète sans distinction sociale, de genre, d'origine ou encore de confessions.

 

54 ans après, le gouvernement choisit à nouveau d'instaurer l’état d'urgence.

54 ans après, l'objectif est le même : éliminer de la réalité et des consciences la République sociale au profit d'un État de « l'ordre », voire d'un « État autoritaire » sans résultat dans la lutte contre le terrorisme.

 

L'inscription de l'état d'urgence dans la Constitution, qui a commencé à être discuté à l'Assemblée nationale, est un symbole fort de la société dans laquelle on veut nous enfermer.

Au nom du droit légitime à vivre en sécurité, c'est la surveillance généralisée, la suspicion, la restriction des libertés et, singulièrement, en direction de tous ceux qui n'acceptent pas l'ordre établi dans lequel on voudrait nous faire vivre.

 

C’est au nom de ce principe sécuritaire que 9 de nos camarades ont été assassinés à Charonne, sur ordre du Préfet Papon, et que ces assassinats ont été couverts.

 

C'est parce que nos camarades portaient avec détermination ces valeurs de liberté, d'égalité, de solidarité et de fraternité que, le 8 février 1962, ils ont été victimes d'un crime d’État.

Un nouveau crime après celui d'octobre 1961.

Un crime qui fait tant honte à la France que ses dirigeants nous ont refusé, pendant vingt ans, le droit de faire vivre, dans le présent, leur histoire.

Et même si parfois la situation actuelle paraît compliquée, même si des doutes existent sur la possibilités de changer la donne, n'oublions pas le courage de ceux qui sont morts à Charonne.

La situation actuelle, c'est un peu comme un feu de bois : quand les braises paraissent s'éteindre, soit on laisse faire, soit on souffle dessus jusqu'à ce que la flamme se rallume et de nouveau nous éclaire et nous réchauffe.

 

Je vous propose que nous soufflions ensemble sur les braises, mêmes si elles semblent parfois très faibles, même si elles semblent parfois presque froides.

 

Soufflons avec le plus grand nombre jusqu'à ré-ouvrir de l'espoir, du tous ensemble, de l'en-commun, de la conscience de classe

Soufflons pour faire vivre la mémoire et les valeurs de nos camarades morts à Charonne.

 

« Ils n'étaient pas nés pour cela et pourtant ils ébranlèrent le monde. »

Nous ne sommes peut être pas nés pour cela, mais nous ébranlerons le monde.

 

Une jeunesse parisienne en résistance - Avant-première

le 05 juin 2015

Une jeunesse parisienne en résistance - Avant-première

Une jeunesse parisienne en résistance

Un documentaire de Laurence Karsznia et Mourad Laffitte produit par Images contemporaines

Avant-première

Vendredi 12 juin à 18h30 au siège du PCF, 2 place du Colonel Fabien 75019 Paris

En présence de nombreux invités tels que Julien Lauprêtre (Résistant et Président du Secours populaire), Jack Ralite, Henri Malberg, Paulette Sarcey...

Ce documentaire propose de revenir sur l'histoire de la MOI parisienne et son engagement dans la Résistance à travers notamment le parcours d'Henri Krasucki. Beaucoup sont arrêtés et connaissent alors le sort tragique de la torture, des exécutions ou de la déportation, marquant à jamais celles et ceux qui ont survécus.

A travers de nombreux témoignages et archives dont certaines inédites, ce film témoigne de ces parcours exceptionnels (Henri Krasucki, Paulette Sarcey, Robert Endewelt, Julien Lauprêtre...) et met en  lumière la culture, le courage, l'intégrité et la force de ces jeunes gens. Il aborde l'espoir et la volonté de toute cette jeunesse parisienne, souvent étrangère et issue du monde ouvrier, avide de faire vivre les valeurs humaines par-delà la xénophobie, l'antisémitisme et les risques encourus.

Cette détermination leur a permis de se dépasser, de surmonter cette épreuve indicible et de jouer un rôle majeur dans la résistance parisienne.

Basé sur de nombreux témoignages et archives dont certaines inédites, ce documentaire s’inscrit dans une volonté de compréhension, de transmission. Il participe du travail de mémoire tout en réinterrogeant notre présent pour le penser et le réinvestir différemment en écho aux questions d’actualité telles que l'éducation, la culture, les luttes sociales, la montée de l'extrême-droite...

« Ni blasé, ni cynique, ni bloqué dans le passé ; tourné vers la vie. Je sais ce que coûte la guerre, le prix de la liberté, celui de la dignité et de la justice »

Henri Krasucki

"Créer, c’est résister. Résister, c’est créer" - On vous fait un dessin

le 26 mai 2015

Il y a plus de 10 ans, d'anciens membres du Conseil national de la résistance (CNR), Lucie Aubrac, Raymond Aubrac, Henri Bartoli, Daniel Cordier, Philippe Dechartre, Georges Guingouin, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont, Lise London, Georges Séguy, Germaine Tillion, Jean-Pierre Vernant, et Maurice Voutey, lançaient un appel solennel : 

« Créer, c'est résister. Résister, c'est créer »

Le 27 mai 2015, année du 70e anniversaire de la victoire sur le nazisme, quatre figures de la Résistance, Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Pierre Brossolette et Jean Zay, vont faire leur entrée au Panthéon.

Aujourd'hui, dans la crise que traverse l'Europe, entre la remise en cause des conquêtes sociales de la Libération et la poussée des extrêmes droites. Ces paroles "adressées avec affection aux jeunes générations" nous ont semblé être toujours d'actualité et un une manière de rendre hommage à celles et ceux qui résistèrent pour des jours heureux en continuant de faire entendre leurs voix.

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Hommage à l'appel "Créer, c'est résister... par CN-PCF

 

Au moment où nous voyons remis en cause le socle des conquêtes sociales de la Libération, nous, vétérans des mouvements de Résistance et des forces combattantes de la France Libre (1940-1945), appelons les jeunes générations à faire vivre et retransmettre l’héritage de la Résistance et ses idéaux toujours actuels de démocratie économique, sociale et culturelle.

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Soixante ans plus tard, le nazisme est vaincu, grâce au sacrifice de nos frères et sœurs de la Résistance et des nations unies contre la barbarie fasciste. Mais cette menace n’a pas totalement disparu et notre colère contre l’injustice est toujours intacte.

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Nous appelons, en conscience, à célébrer l’actualité de la Résistance, non pas au profit de causes partisanes ou instrumentalisées par un quelconque enjeu de pouvoir, mais pour proposer aux générations qui nous succéderont d’accomplir trois gestes humanistes et profondément politiques au sens vrai du terme, pour que la flamme de la Résistance ne s’éteigne jamais :

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Nous appelons d’abord les éducateurs, les mouvements sociaux, les collectivités publiques, les créateurs, les citoyens, les exploités, les humiliés, à célébrer ensemble l’anniversaire du programme du Conseil national de la Résistance (C.N.R.) adopté dans la clandestinité le 15 mars 1944 : Sécurité sociale et retraites généralisées, contrôle des " féodalités économiques " , droit à la culture et à l’éducation pour tous, presse délivrée de l’argent et de la corruption, lois sociales ouvrières et agricoles, etc. Comment peut-il manquer aujourd’hui de l’argent pour maintenir et prolonger ces conquêtes sociales, alors que la production de richesses a considérablement augmenté depuis la Libération, période où l’Europe était ruinée ? Les responsables politiques, économiques, intellectuels et l’ensemble de la société ne doivent pas démissionner, ni se laisser impressionner par l’actuelle dictature internationale des marchés financiers qui menace la paix et la démocratie.

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Nous appelons ensuite les mouvements, partis, associations, institutions et syndicats héritiers de la Résistance à dépasser les enjeux sectoriels, et à se consacrer en priorité aux causes politiques des injustices et des conflits sociaux, et non plus seulement à leurs conséquences, à définir ensemble un nouveau " Programme de Résistance " pour notre siècle, sachant que le fascisme se nourrit toujours du racisme, de l’intolérance et de la guerre, qui eux-mêmes se nourrissent des injustices sociales.

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Nous appelons enfin les enfants, les jeunes, les parents, les anciens et les grands-parents, les éducateurs, les autorités publiques, à une véritable insurrection pacifique contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation marchande, le mépris des plus faibles et de la culture, l’amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous. Nous n’acceptons pas que les principaux médias soient désormais contrôlés par des intérêts privés, contrairement au programme du Conseil national de la Résistance et aux ordonnances sur la presse de 1944.

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Plus que jamais, à ceux et celles qui feront le siècle qui commence, nous voulons dire avec notre affection : " Créer, c’est résister. Résister, c’est créer ".

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A voir aussi :

27 mai 2015 - Journée nationale de la Résistance

Le PCF honorera toute la Résistance et appelle ses militantes et militantes, les citoyennes et citoyens, jeunes et moins jeunes à se rassembler, à organiser devant la place de la mairie, au cimetière, devant une plaque commémorative, devant une plaque de rue... des cérémonies et des initiatives dans toute la France.

Une soirée d'hommage, où sont conviés toutes celles et tous ceux qui le désirent, aura lieu au siège national du Parti communiste français - 2 place du Colonel Fabien - autour d'une pièce de théâtre sur Marie-Claude Vaillant-Couturier et de la présentation du « dictionnaire des fusillés sous l'occupation » publié aux Éditions de l'atelier.

Résiter hier et aujourd'hui ! - 27 mai : Journée nationale de la Résistance

le 12 mai 2015

Projection / Rencontre autour du film "Les FTP-MOI dans la Résistance" de Mourad Laffitte

le 20 mars 2015

Projection / Rencontre autour du film

Dans le cadre de l'exposition "Grandir après la shoah" présentée jusqu'au 27 mars à l'Espace Niemeyer ( siège du Parti communiste ) projection du film de Mourad Laffitte et Laurence Karsznia "Les FTP-MOI dans la Résistance" en présence des réalisateurs.

 

Bande annonce du documentaire "Les FTP MOI dans la résistance" from Laffitte Mourad on Vimeo.

 

Projection / Rencontre

Jeudi 26 mars 2015 à 18h30

Espace Niemeyer - Siège du PCF

2 place du Colonel Fabien 75019 Paris

Métro Colonel Fabien

 

Grandir après la Shoah - Exposition jusqu'au 27 mars. Pour en savoir plus : c'est ICI